Le cinéma algérien en danger de mort

Le cinéma algérien
À la suite de la suppression du fonds en avril dernier, des films, dont la production avait déjà débuté, n’ont pas touché les dernières tranches qui leur étaient allouées. Du jour au lendemain, les cinéastes ont dû interrompre leur tournage et chercher en urgence des financements étrangers pour mener, à bien, leur production et payer comédiens et techniciens engagés sur leur film.
À ce jour, non seulement les cinéastes ne voient pas d’avenir mais les dossiers de dizaines de projets cinématographiques déposés ces deux dernières années restent en suspens, sans aucune information, ni perspective de résolution.
 
Nous renouvelons notre soutien aux cinéastes et producteurs algériens, au cinéma algérien que nous défendons depuis des années et que nous avons à cœur à de promouvoir.
En 2017, au Cinemed à Montpellier, nous avions consacré une programmation à La jeune garde du cinéma algérien et nous ne pouvons imaginer que le bel élan de cette création cesse aujourd'hui.
 
Lire le communiqué ci-dessous

https://lematindalgerie.com/les-cineastes-algerien-nes-lancent-un-cri-dalarme/